LIRE ET COURIR

LA SCÈNE DES SOUVENIRS

KATE MORTON

ROMAN

693 PAGES

EDITIONS POCKET

DESCRIPTION

Suffolk, 2011. La célèbre actrice Laurel Nicolson se rend au chevet de sa mère mourante. Alors qu’elles parcourent ensemble un album de famille, une photo s’en échappe – un instantané que Laurel n’a jamais vu. L’une des deux jeunes femmes est bien sa mère, Dorothy, mais l’autre ? Sans s’en douter, Laurel vient d’ouvrir la boîte de Pandore, libérant les secrets, et les souvenirs. Ceux de Dorothy, qui dorment sous les décombres des bombardements londoniens de 1941, mais aussi les siens – ce terrible et brûlant été de son enfance…

MON AVIS

Oui encore un Kate Morton…mais que dire à part que j’avais envie de retrouver cet univers, SO BRITISH, les retours dans le passé, les secrets de famille que Kate Morton maitrise comme personne…bref l’idéal pour déconnecter.

Après l’enfant du lac, les brumes de Riverton, me voilà partie à la découverte de la scène des souvenirs.

Cette fois, nous suivons Laurel qui accompagne sa mère mourante, elle retrouve alors une photo, qui fait resurgir en elle un événement traumatisant de son passé…elle se rends compte alors qu’elle ne connait rien de la vie de sa mère, d’avant son mariage avec son père…

Au fur et à mesure de ses recherches, elle se rends compte qu’un terrible secret hante sa mère, et qu’elle se reproche quelque chose qu’elle n’arrive pas à se pardonner, notamment la mort de quelqu’un.

Cette fois, on change d’époque, l’action du passé se situe dans le Londres de la seconde guerre mondiale, en plein bombardements allemands. Période ou la vie et la mort sont étroitement mêlés, où l’on survit et l’on continue sa vie comme on peut entre deux obus.

Oui, c’est toujours le même schéma, mais j’y adhère, il remplit complétement son rôle,une fois de plus j’ai dévoré cette lecture, je l’ai trouvé complétement addictif, très bien construit jusqu’à une fin que je n’avais pas vu venir.

Une fois de plus Kate Morton, m’a embarqué dans son univers et j’ai adoré…j’aime cet façon d’être immergée dans une histoire de famille, tout en découvrant une période de l’histoire anglaise.