
RÉSUMÉ :
Juillet 1789.
La Bastille vient de tomber. Danton, Desmoulins et Robespierre entrent dans l’Histoire. Au milieu du tumulte, le jeune et brillant journaliste Gabriel Joly a découvert l’identité du Loup des Cordeliers, ce mystérieux justicier qui hante, la nuit, les rues de Paris. Mais alors qu’il est sur le point de le confondre, voilà que celui-ci disparaît !
La course-poursuite s’engage, menant Gabriel jusque dans les maquis de l’île de Corse, sur les traces de la Main rouge, étrange société secrète dont les membres tentent d’influer sur la Révolution en cours.
Accompagné du pirate Récif et de l’intrépide Théroigne de Méricourt, Gabriel parviendra-t-il à retrouver le Loup des Cordeliers et à découvrir ses plus noirs secrets ? Entre complots et trahisons, il devra faire usage de sa plus grande sagacité pour résoudre l’énigme de la Main rouge.
MON AVIS :
Pour rappel ce livre est la suite directe du loup des Cordeliers, il est donc impératif de le lire avant.
C’est partie, pour une nouvelle plongée au cœur de notre histoire….A noter, la présence des gravures historiques qui nous plongent encore plus dans l’ambiance du roman.
Le 14 juillet est passé, la révolte gronde toujours, Danton, Desmoulins et Robespierre tentent de reconstruire le monde d’après (🤔😉). Notre jeune Gabriel vient de découvrir l’identité du loup, il s’interroge, pourquoi ne l’a-t-il pas tué ? Alors que jusque là, le loup de cordeliers ne laissait derrière lui que des cadavres. Plusieurs indices le ramènent à la Corse et une étrange société secrète.
J’avais beaucoup aimé le premier tome, mais là …avec le second tome, on passe un grand au dessus !!!
Un grand cran au dessus dans l’émotion surtout avec le personnage du loup que j’adore X 1000, un grand au dessus dans l’action , dans les rebondissements, dans les mystères qui entourent la main rouge.
Un final….OMG…Henri Loevenbruck m’a achevé…
BREF…UNE BELLE MONTÉE EN PUISSANCE …ENCORE UN BEAU MOMENT EN PERSPECTIVE AVEC LE TROISIÈME TOME À VENIR .
2 réflexions sur “LE MYSTÈRE DE LA MAIN ROUGE / HENRI LOEVENBRUCK”