
RÉSUMÉ :
Le loup n’est pas toujours celui qu’on croit…
Pour Alexane Laroche, commandante à la Crim’, la rentrée s’annonce complexe : le cadavre d’une fillette a été retrouvé dans le coffre d’une voiture abandonnée, et aucune famille ne s’est encore manifestée.
Le propriétaire du véhicule, lui, est rapidement interpellé : il s’agit d’un certain Nicolas Rousset, commercial pour une société de luxe, qui prétend tout ignorer de la mort de l’enfant. Pour quelle raison était-il alors terré dans un hôtel miteux depuis plus d’une semaine ? Et pourquoi sa femme, Emily, s’inquiète-t-elle à peine de son absence ?
Lorsque des soupçons de maltraitance émergent, l’enquête se complique. D’autant plus que la jeune avocate Pauline Carel, qui a défendu les pires criminels, a décidé d’accepter le dossier. Pour connaître la vérité, elle devra faire tomber jusqu’au dernier des tabous…
MON AVIS :
Comment je suis passée à coté de cette autrice française thriller ????
Vous l’aurez compris j’ai tout simplement adoré ma découverte de Pétronille Rostagnat !!! Très belle découverte.
Pas de filtres, on part sur une histoire glauque de meurtre d’enfant avec son cadavre abandonné depuis plusieurs jours dans le coffre d’une voiture…ça pose le cadre tout de suite . L’enquête, nous amène dans une famille qui semble complétement ordinaire, sans soucis apparents ….en surface…
Le duo formé par Alexane, l’enquêtrice et Pauline, l’avocate, sort de l’ordinaire car elles ne font pas du tout équipe, au contraire, elles n’ont pas d’atomes crochus à la base, mais le même sens de la quête de la vérité. Et chacune à leur façon, elles vont arriver à une conclusion insoupçonnable.
Rien dans cette histoire n’est une évidence…aveux, accusations, preuves…il ne faut rien prendre pour acquis .
Un sujet peu ordinaire, un thriller qui ne va pas vous laisser de marbre et dont vous vous souviendrez.
BREF…IL ME FAUT ABSOLUMENT LES AUTRES ROMANS DE PETRONILLE ROSTAGNAT !!!
MERCI HARPER COLLINS POUR CETTE LECTURE
Une réflexion sur “JE PENSAIS T’ÉPARGNER / PÉTRONILLE ROSTAGNAT”