LIRE ET COURIR

Du sport , de la lecture et un peu plus encore…

RÉSUMÉ :

Trente ans ont passé depuis que Greta a quitté Marchmont Hall, une magnifique demeure nichée dans les collines du Monmouthshire.

Lorsqu’elle y retourne pour Noël, sur l’invitation de son vieil ami David Marchmont, elle n’a aucun souvenir de la maison le résultat de l’accident tragique qui a effacé de sa mémoire plus de vingt ans de sa vie.

Mais durant une promenade dans le parc enneigé, elle trébuche sur une tombe. L’inscription érodée lui indique qu’un petit garçon est enterré là. Cette découverte bouleversante allume une lumière dans les souvenirs de Greta, et va entraîner des réminiscences.

Avec l’aide de David, elle commence à reconstruire non seulement sa propre histoire, mais aussi celle de sa fille, Cheska…

« Une fantastique conteuse.» Katherine Webb

MON AVIS :

Comme l’année dernière, j’ai décidé de passer l’été avec Lucinda Riley, en attendant la fin de sa saga des sept sœurs, je me suis lancée dans un ses one shot.

Du moment, où l’histoire se passe dans une magnifique demeure anglaise…moi tout me va !! Lucinda Riley nous raconte une saga familiale un peu particulière car cette famille, ne repose pas uniquement sur les liens du sang, mais sur beaucoup d’amour et des non dits. Elle reprend le thème de la transmission des traumatisme des adultes à leur enfants. Elle aborde aussi un sujet que l’on trouve peu dans ce type de livre : la maladie mentale ….la maladie mentale dans les années 60, donc perçue encore comme maladie honteuse, maladie à cacher et à camoufler. Elle aborde aussi le sort des filles/mères après la guerre et le peu d’option qui s’offraient à elles à l’époque…forcément ce type de sujet fait froid dans le dos quand il résonne avec notre actualité.

Si je devais faire « une comparaison » avec la reine dans ce domaine : Kate Morton, Lucinda Riley va plus loin dans les clichés et les invraisemblances, et parfois, ça me fait lever les yeux au ciel, mais elle a le don de les intégrer à son histoire et malgré tout ça passe.

J’ai bien aimé le contexte historique, de l’après guerre au milieu des années 80, les références aux enfants stars de l’époque et leur surmédiatisation.

En soi, l’histoire n’est pas d’une originalité folle, mais j’ai vraiment passé un bon moment, et le style de Lucinda Riley est toujours aussi addictif.

BREF…SI VOUS AVEZ ENVIE DE LIRE UNE SAGA FAMILIALE, LUCINDA RILEY EST ET RESTERA UNE CONTEUSE FANTASTIQUE …désolée je n’arrive pas à l’évoquer au passé…

2 réflexions sur “L’ANGE DE MARCHMONT HALL / LUCINDA RILEY

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